Les prix d’excellence 2024 de l'Association des musées de l'Ontario

Peter Boyle a rejoint le Parc Historique du Fort William comme interprète étudiant dans les années 1980 et a tenu plusieurs positions au FWHP pour plus de 40 ans – la majorité de l’existence du FWHP. Programme sa carrière extensive, Peter a contribué à la recherche et développement de l’histoire vivante riche et primé et au programme éducationnel qui aide à décrire l’histoire du commerce du fourrure du Canada Centrale du 19ème siècle.

Pendant sa fonction à la FWHP, parmi autres accomplissements, Peter était responsable en assurant l’aptitude structurelle et esthétique et la précision de représentation historiques de 44 établissements d’héritage et structures secondaires y compris le campement anishnaabé et un wigwam d’éducation. Sa direction du personnel artisanal supérieur en effort de conservation est une réflexion de sa dédication afin de préserver le passé alors que l’expansion de la collaboration du FWHP avec des partenaires diverse et parties pertinentes exemplifie des aspirations prospectives pour le FWHP. Peter a aussi dirigé de manière experte l’évaluation du patrimoine culturel qui à effectivement abouti à la recommandation de reconnaître le FWHP comme bien du patrimoine provincial d’importance provinciale.

“« FWHP ne serait pas là où il est sans les efforts dévoués, loyaux et enthousiastes de M. Boyle tout au long de sa carrière, qui a dépassé toutes les attentes. »- Livio Di Matteo, Professeur d’Économiques, Université Lakehead

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Roxane Shaughnessy a fait partie du personnel au musée du Textile du Canada pour 26 ans. Pendant son temps aux TMC, Roxanne a géré plusieurs exhibitions impressionnant et innovative incluant « Textiles imprimés du Studio Kinngait » en partenariat avec le Coopératif du West Baffin avec qui elle a servi en tant que responsable de la conservation. Pour cette exhibition, Roxanne a collaboré avec les partenaires communautaires pour faire certain que le projet sera fondé sur le voix, l’expertise et l’engagement Inuit qui a résulté en recherche mutuelle bénéficiale, les programmes d’éducation assisté et une tour d’exhibition nationale. Lors de ces accomplissements collaboratifs extensive, l’exhibition a été récompensé le Prix d'histoire du Gouverneur général pour l'excellence des programmes dans les musées : Histoire vivante! En partenariat avec l’association des musées canadiens et la société historique du Canada.

Un héritage important du passage de Roxane au TMC est son travail de pionnier en augmentant l’accessibilité et inclusivité des collections à travers le projet du musée afin de numériser sa collection autant que le partenariat actif avec les communautés de source sur les exhibitions et à la mise à jour des expositions existantes de la galerie afin de refléter appropriement et avec précision les objets exposés et les besoins culturels des communautés du musées.

“« Merci à Roxane, le TMC est devenu un des meilleurs terrains d’entraînement pour les professionnels des musées dans la région de Toronto, surtout en gestion de collections. »Sarah Fee, Conservatrice supérieure de textiles et mode globale (Asie et Afrique), Musée Royal de l’Ontario

Mab Coates-Davies a été employer par le musée de Textiles du Canada (TMC) en 2018 et a déjà reçu 4 promotions à cause de leur vouloir d’aller constamment au-delà de leurs attentes dans leur travail. Mab a pris des nouvelles responsabilités impliquant la comptabilité et l'audit financier avec enthousiasme ainsi que la surveillance du redéveloppement du magasin du Musées quand le musée était en besoin des professionnels flexible et avec initiative pendant la pandémie de COVID-19.

Mab a fondamentalement changé le recrutement des volontaires, l’entraînement et la procédure de l’engagement de TMC afin de créer un modèle plus équitable et inclusif qui, en tout importance, ne remplace pas les positions payées du personnel. Ceci est refléter dans le leadership de Mab pendant qu’elle a réimaginer le magasin du musée à avoir des textiles créer par des artistes PANDC et les items créer par des bénévoles afin d’aider le musée de collecter des fondes. Au-delà des tâches immédiates du travail, Mab est aussi dédiée à l’éducation autonome de la bourse plus récent sur la gestion des bénévoles et est un membre exécutif de l’association d’administration des bénévoles de Toronto.

“« Depuis sa première journée, Mab a continuellement surpassée la description officielle au musée Textiles du Canada parce qu’elle en soucie. Elle se soucie profondément du musée, la communauté muséale, les personnes et les problèmes globales et locales qui les affectent. »- Zile Liepins, Conception et Communication, Séminaire du film Flaherty

Après qu’un bâtiment de pierre de 1853 en Mallorytown était acheté par le conseil de la ville, la société du patrimoine de la rivière des Mille-Îles (TIRHS) a changé leur remit de la reconstitution du patrimoine au support du redéveloppement du site comme musée. En 2017, l’historien locale, membre du TIRHS et artiste graphique Brian Phillips a proposé a suggéré que la Société crée une exposition permanente qui honore le Verrerie de Mallorytown, la première verrerie commerciale du Canada.

Le comité des verreries a levé des fonts et ont conçu une exhibition où tous les aspects – du revêtement de sol en carrelage imitation grès au puits de lumière artificiel inspiré d'un sucrier antique – sont réflective du Verrerie et la communauté local. Le TIRHS est un groupe petit et passionnante de 13 membres communautaires locales et un tiers du group a désigné, géré et implémenté la majorité du projet. Plus de 12,000 heures d’heures de bénévolat afin de mettre ce projet ambitieux possible.

« Pour plusieurs années, comme membre de longue date du Réseau du patrimoine du comté de Leeds, j’étais consciente de l’énergie remarquable et la vision d’un group exemplaire, qui a créé le Musée Mallory Coach House. Je me suis constamment émerveillé de la portée de ce groupe qui a joué un rôle vital à une communauté petite. » - Diane Haskins, Membre du Réseau du patrimoine du comté de Leeds.

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Le Musée Niagara-on-the-Lake (Musée NOTL) a créé une exhibition Liée et Déterminée : Chloé Cooley, Asservissement et le combat pour la liberté en commémoration du 230ème anniversaire de l'adoption de la première loi de l'Empire britannique visant à restreindre la traite des esclaves. Chloé Cooley était une femme esclave du Queenston dont les efforts de résistance ont provoqué l’adoption du gouvernement ce qui serait « La loi visant à prévenir à l’avenir l’entrée d’esclaves et à limiter la durée du contrat de servitude, le 9 juillet 1793 (Loi visant à restreindre l’esclavage). La législation, avec la Loi de l’abolition d’esclavage (1834) a préparer pour l’expansion du Chemin de fer clandestin et les milles de chercheurs de libertés qui ont recherché la liberté au Canada. L’exhibition du musée NOTL était la première au Canada dédiée à l’héritage du personnage historique extraordinaire.

Dès le début, le personnel du musée NOTL ont décidé de raconter ces histoires en pleine conscience grâce à l’implication et à la participation intentionnelles des membres du communautés noires et africaines, notamment par la cocommissariat de l'exposition et la commande d'une œuvre d'art originale de Cooley. Le musée NOTL a pu compter avec la passée afin de centraliser les histoires de la vérité, la résistance, et la liberté en présentant une histoire plus authentique, inclusive et véritable.

« En plaçant son corps à côté du bateau et imaginer la ressemblance à une bateau qui a aurait ramené Cooley en Amérique est effrayante. Le poids était accessible et c’était encouragé de sentir le poids qui pourrait être placer sur une personne réduite en esclavage – lourds. » - Conā S. M. Marshall, professeure assistante, Professeur des religions américains, Université de Rochester.

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« Déstabiliser le Grand » explore l’entreprise en faillite de la Compagnie de navigation du rivière Grand (1832-1861), en analysant les relations historiques et contemporaines entre le peuples Autochtones et les communautés coloniales dans et aux longues du rivière Grand. La conception et le récit de l’exhibition ont été façonnés par la philosophie du « double regard » de l’aîné Albert Marshall (Première Nation Eskasoni, Unama’ki (île du Cap-Breton) Mi’kma’ki) qui a résulté dans un processus transformateur favorisant la pluralité des perspectives autochtones traditionnelles et occidentales dominantes, la réflexion critique, la collaboration et la réciprocité.

Cette philosophie a été refléter dans l’expérience innovative de l’exhibition, incluant une narrative dans le sens inverse des aiguilles d’une montre remettant en question les pratique d’exposition chronologiques conventionnelles, les chapitres de l’exhibition présenter à travers les perspectives narratives bilatéraux des Autochtones et les coloniales, et la carte à la taille de la pièce qui centre la voix du de la rivière et mettre les visiteurs du musée en dialogue avec lui.

« L’exhibition offre une image accessible d’une histoire essentielle de l’histoire de la rivière Grand autours des relations entre la Couronne, leurs agents, and les Premières Nation et la nature de l’expansion coloniale dans le bassin versant » - Jeremy Shute, Planificateur supérieur en consultation environnementale, Shared Value Solutions

Mat Johnson a créé le Magazine Marathon de l’Histoire en 2022 pour satisfaire un besoin d’un magasin de patrimoine locale amusant, informatifs, en pleines couleurs est accessible. Le magasin crée une espace pour les historiens, les historiens en herbe et les enthousiastes du patrimoine locale afin de partager leurs travaux avec des personnes qui partagent les mêmes idées. Alors que beaucoup de magazine d’histoire axés sur le niveau national ou sur les États-Unis, sont large portée et ont des barrières hautes pour la contribution, le ‘Marathon de l’Histoire’ est unique dans le sens qu’il est axé sur le niveau régional et ne nécessite pas de la part des contributeurs une vaste expérience ou des qualifications, mais seulement un amour de l’histoire – la devise du magazine est « Histoire locale par le peuple local ».

Un aspect central du mandat du magazine est de reconnaitre les professionnel et bénévoles muséales incroyable, surtout ce qui vient des musées plus petits qui ne peut-être ne peuvent pas le budget pour les grandes exhibitions ou le marketing mais sont aussi passionnés et dédiées à leurs travaux. La modèle de publicité et le coût pour le lecteur (les copies physiques ont un coût minimal mais les copies digitales sont gratuites) sont abordable et accessible pour tous. Ce modèle a permis de générer une base de lecteurs numériques de 2 000 à 2 500 personnes pour chaque édition et d’autres encore qui achète des copies physiques au marché local ou lors d’un événement communautaire.

« La passion de Mat pour la narration de l’histoire est évidente dans chaque édition et il vraiment donne les lecteurs un bon sens de comment les histoires locales s’intègrent dans le tableau plus large de l’histoire canadienne et mondiale » - Ron MacIntyre, Enseignant (Retd.) Conseil d’éducation de Bluewater

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« Une voie à suivre » est une exhibition permanente et évolutive du comté de Prince Édouard qui symbolise les efforts continus de la communauté en matière de vérité et de réconciliation autochtones. Cette exhibition invite les visiteurs d’écouter, apprendre et engager avec les expériences vécus de ceux qui sont affectés à travers de générations par des écoles résidentiels. À travers d’un processus collaboratif, « Une voie à suivre » vise à transformer l’ancien église anglican de Saint Marie Magdalen en plaçant les œuvres d’art contemporaines crées par des artistes autochtones au milieu du narrative qui parle à la présence historique et courant et l’importance des peuples autochtones du comté.

« Une voie à suivre » trouve son origine dans une manifestation autour de la statue « Tenir le Cour » de John A. MacDonald, une des architectes du génocide du Canada des peuples autochtones, sur la rue principale de Picton. Le projet a été créer en réponse à la décision initiale de retenir la statue in situ et la décision subséquente d’enlever la statue afin de la préserver dans un bâtiment du comté afin de prévenir le défacement. L’exposition résultante représente une étape innovatives et significante à la vérité et réconciliation en amplifiant les voix autochtones et favorisant activement une collaboration continue et significative entre les partenaires, les membres communautaires et les artistes non-autochtones et autochtones.

« Une voie à suivre n’a pas juste crée une espace accueillante ou les communautés autochtones et non-autochtones peuvent venir ensemble pour apprendre et célébrer; c’est aussi une testament publique vivante et évoluant à la force, résilience et futur des peuples autochtones du comté Prince Édouard et au-delà » - Andrea Dawes, directrice des initiatives spéciaux, Conseille des Arts du comté Prince Édouard.

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‘Honorer et Respecter’ était une exhibition de prête interculturelle, diplomatique et internationale qui a réuni des partenaires et parties pertinentes diverses autochtones et non-autochtones. À travers l’effort dédié de l’équipe compatissante et collaborative, 13 wiigwassi makakoon (paniers en écorce de bouleau à plumes) étaient capable de visiter leur maison pour la première fois en 164 années. Les makakoon magnifiques étaient fabriquer expertement par des femmes du Premières Nations Hiawatha et étaient doué au prince des Galles en 1860 quand il a visité Hiawatha sur son tour royale. 11 de ces makakoon sont associés avec les noms des fabricateurs, une caractéristique importante qui les lie aux familles descendantes.

Le projet spécial afin de ramener les ancêtres à la maison pour une visite leur a permis d’enseigner la communauté descendante et renforcer la connaissance de l’art, langues, héritage patrimoniale tangibles et intangibles des Nishnaabeg et la diplomatie internationale. Les buts principaux du projet y compris enseigner, apprendre et l’amélioration de la langue et les compétences en piquant par l’intégration la langue menacée du Michi-Saagiig Nishnaabemowin à travers l’exhibition, les matériaux du projet et les événements. Les interactions avec les ancêtres ont supporter puissamment le transfert et préservation des compétences traditionnelles, les liens entre générations et la réconciliation, ainsi que l’encouragement de compréhension entre cultures.

« Les partenariats complexes qui ont réunis pour ce projet ont continuer à aider de renforcer les relations entre le PMA et les communautés locales autochtones. Espérons que ce projet peut servir comme modèle de prêt pour des autres artefacts autochtones des institutions outre-mer, en permettant les ancêtres de retourner à la maison » - Amy Baron, coordinateur du programme, Collège Fleming.

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Le Musée London a lancé un projet collaboratif en octobre 2022 qui a résulté en exhibition « London résilient : Raconter vos voisins ». L’exhibition a collecté et présenté des histoires, objets, œuvres d’art, chansons, vidéos et plus d’artefact de résilience de 68 membres individuels de la communauté diverse de London.

L'équipe du musée a créé le projet pour que la narration et collection subséquente de ces histoires sera surtout accessible pour des participants les plus diverses que possibles. Chaque participant a choisi un objet tangible ou un accompagnement digital qui a mieux incarnée leurs histoires. Les portraits à l’échelle des participants améliorent plus loin le pouvoir des histoires et des objets et permis aux visiteurs de raconter ses voisins face-à-face. En présentant les histoires puissantes de sa communauté diverse, Musée London a fourni de nouvelles relations, a changé les attitudes locales quant à la clientèle du musée et élargir ses collections de culture matérielle pour mieux refléter le Londres contemporain.

« Avoir eu la chance de réfléchir et de tirer des éléments utiles a soutenu le message selon lequel non seulement Londres est remplie de personnes aux histoires remarquables, mais que je suis moi aussi capable d'être résilient et d'appartenir à des communautés fortes et bienveillantes. » - Kathryn Lyons, Directrice de l’apprentissage et de l’engagement communautaire à la Galerie, Musée des beaux-arts du Canada.

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« Les histoires de migrations et appartenance » est une expérience vidéo digitale crée par le musée civique du Hamilton en partenariat avec le conseille partenariat d’immigration de Hamilton. À travers l’espace digitale de l’exhibition, un groupe divers de membres communautaires était inviter de partager leurs histoires d’immigration à Hamilton dans ces propres mots. Bien que l’exhibition à représenter une variété de voix différents et expériences de vie, tous sont liés par un fil commun de créer une nouvelle maison ensemble en Hamilton – une expérience partager par un quart de Hamiltoniens aujourd’hui.

Ce exhibition cocréer serve comme une ancre digitale pour les histoires des nouveaux venus. Les histoires collecter dans ces exhibitions sont facile à accéder et aussi facile à partager, étendant leur portée dans toute la communauté et au-delà. Le format digital de l’exhibition fait certain que, malgré les barrières physiques à l’accès, les membres communautaires ont l’opportunité de participer et découvrir l’histoire culturelle du Hamilton d’aujourd’hui dans sa riche diversité.

« La variété de voix fourni des divers points de vue et expériences, faciliter par le musée, mais notamment, le voix communautaire – au lieu du voix institutionnel – était devant et au centre. » - Megan Wiles, coordinatrice d’exhibition et sensibilisation, musée de Mississauga.

Regarder le vidéo d’acceptance du musée civique du Hamilton ICI.

« Debout dans l’embrasure de la porte » est un programme d’exhibition communautaire et ressources pédagogiques d’accompagnement en commémoration du 100ème anniversaire du ‘Loi d’exclusion des Chinois (1923)’. Ce projet présente un récit rédigé par la communauté de résistance, résilience et les plus accomplissements des résidents de la région de York d’origine chinoise à travers une programme virtuel à trois parties et un programme d'expositions itinérantes. Une trousse de ressource additionnelle est conçue pour engager des étudiants dans leurs salles de classes et leurs niveau scolaire (de maternelle jusqu’au 10ème année).

Le projet a été façonné par la communauté locale d'origine chinoise de sa création. En tout, plus de 500 conseillers, participants, et contributeurs de records, histoires et artéfacts personnels étaient impliqué dans ce projet communautaire collaborative, inclusive et activement engageant. En plus, 175 jeunes et leurs éducateurs ont contribuer à la planification des phases du projet. Le projet a concentré sur la représentation approprié et responsable des histoires et culture de la communauté d’origine chinoise et aussi en assurant que les histoires seront accessibles à tous membres communautaires et que les jeunes personnes surtout auront l’opportunité d’apprendre de l’exhibition et les programmes et ressources associés.

« Pendant que le sujet se concentre sur la communauté chinoise, le message est plus généralement l’antiracisme; les étudiants de tous communautés marginalisées peuvent voir eux-mêmes dans les histoires familiales des chinois et trouver la valeur et fierté dans leurs identités » - Katrina Pyke, Coordinatrice d’opérations muséales, musée villageois Pickering

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« Samedi sensoriel » est une expérience accessible de gallérie désigné spécifiquement pour les visiteurs neurodivers et les individus ayant des besoins de traitement sensoriel at la Gallérie d’art Kitchener-Waterloo. Pendant ces samedis, tous expressions sont bienvenus pour que les visiteurs peuvent bouger, stimuler ou faire du bruit en explorant des exhibitions avec des lumières à faible luminosité et faible niveau du son. À côté de ce projet, la Gallérie a aussi construit un environnement sensoriel avec une gamme de stimuli afin de supporter le calme, focus et confort que les invités avec une gamme de besoins sensoriels.

Afin de faire certain que le projet soyez entrepris de manière responsable, approprié et avec respect, la Gallérie a travaillé en étroite collaboration avec Autisme Ontario et les conseiller neuro-atypique de la communauté. Le projet a fait la gallérie plus accessible aux enfants et adultes avec des besoins divers et aussi encourager des relations nouveaux et amélioré avec des membres de la communauté neuro-atypique, les visiteurs et autres organisations qui aide dans les besoins de la communauté.

« Le développement de l’espace entier – le premier en Ontario – était un acte de reconnaissance délibérée conscient d’une population qui a été omis dans le passé. L’existence de l’environnement sensoriel support une modèle sociale positive de déshabiliter : les personnels ont identifié que l’absence d’un tel espace est cause pour l’exclusion et ont agis en proposant les changes constructifs pour éliminer les barrières et augmenter l’accès » – Karoline Varin, Administratrice du programme des arts et industries créatifs, Ville de Kitchener

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